Nombre de prises de positions, articles et débats fleurissent à propos des effets de la « féminisation « des Conseils d’administration et de surveillance (CA), chiffres à la clé démontrant la progression fulgurante, liée à l’effet de levier de la loi Copé-Zimmerman[1].On s’interroge moins souvent sur les conséquences potentielles de cette mixité, ni par ailleurs sur le périmètre d’efficacité de la loi. Creuser ces 2 thèmes, avec l’objectif d’une première approche à compléter ultérieurement est l’objectif de cet article en mode «warning» et «to do»

La Mixité, pourquoi faire? Une amélioration constatée de la gouvernance

A partir de l’étude « Femmes, pouvoir et bonne gouvernance: modèle à créer »[2]?, quelques paradigmes ont été identifiés autour de la perspective « idéalisée » de la gouvernance que des candidates à des mandats[3] ou exerçant des mandats depuis peu expriment. Les dirigeants en témoignent, des femmes dans les CA apportent souvent un œil neuf et une professionnalisation de la démarche. Plus récentes, donc plus indépendantes des décisions passées, elles sont plus authentiques et très sérieuses dans leur approche; s’ensuit une valeur ajoutée réelle. Cinq paradigmes peuvent résumer cette valeur ajoutée: consulter l’article complet sur businessofeminin.com

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Cette conférence sur la gouvernance et la communication de crise a été passionnante et a rencontré un vive succès auprès des participants.

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Dans un an, la part des femmes dans les conseils d’administration des grosses entreprises devra atteindre les 40%, selon la loi. Cinq ans après l’entrée en vigueur de la loi Copé-Zimmerman, RMC fait le point.

L’égalité hommes-femmes avance dans les entreprises. Le Haut Conseil à l’égalité entre les femmes et les hommes fait le bilan, cinq après l’entrée en vigueur de la loi Copé-Zimmermann, qui prévoit que la part de femmes dans les conseils d’administration des grandes entreprises doit atteindre 40% l’année prochaine.

Selon les chiffres que RMC a pu se procurer, la situation a évolué positivement. Dans les entreprises du CAC 40, on compte aujourd’hui 28% de femme dans les conseils d’administration, contre 10% en 2010. A l’inverse dans les plus petites entreprises, les ETI (Entreprises de Taille Intermédiaire), non cotées, c’est plus difficile: 14% de femme seulement. […]

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Les grandes entreprises n’ont plus qu’un an pour nommer 40% de femmes dans leurs conseils d’administration. Les petites sociétés sont encore à la traîne.

EXCLUSIF –
Objectif 40%. Il ne reste plus qu’un an aux entreprises pour respecter la loi et nommer 40% de femmes dans les conseils d’administration. Cette loi, votée en 2011, concerne les sociétés de plus de 500 salariés et de plus 50 millions d’euros de chiffre d’affaires.

Pour la moitié de ces entreprises, l’objectif est atteint. Trois fois plus de femmes siègent dans les conseils d’administration qu’en 2011, où elles n’étaient que 9%. Mais, dans les sociétés plus petites, il manque encore un millier de femmes pour participer aux décisions, puisque seulement 14,2% de femmes siègent dans leur conseil d’administration, selon un rapport du Haut conseil à l’égalité entre les femmes et les hommes. […]

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Rapport : les entreprises non cotées en Bourse sont très loin d’atteindre les objectifs légaux de parité entre hommes et femmes.

Des entreprises avec au moins 40 % de femmes dans leur conseil d’administration (CA) ou de surveillance (CS) ? Un objectif encore utopique… notamment pour les entreprises de taille intermédiaire […]

Source : leparisien.fr

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13 est le nombre moyen de membres dans un Conseil du CAC40,
11 dans le SBF120
11 dans le FTSE100
12 dans le DJIA30.

Source : ethicsandboards.com

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Peu cumularde, plus jeune, plus indépendante… Cinq ans après les lois Copé-Zimmermann, voilà le profil type des femmes au sein des conseils d’administration, selon le rapport remis à la secrétaire d’Etat Pascale Boistard ce 10 février. Une photographie qui pourrait vite changer.

Cinq ans après les lois Copé-Zimmermann de 2011 et 2012 censées accroître la part de femmes dans les conseils d’administration et de surveillance, le rapport remis ce mercredi 10 février, à la secrétaire d’Etat aux Droits des femmes Pascale Boistard par le Haut Conseil à l’égalité entre les femmes et les hommes (HCEFH) et le Conseil supérieur de l’égalité professionnelle entre les femmes et les hommes (CSEP) fait le point sur ses avancées. […]

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Parité & grandes entreprises privées et publiques :
Le HCEfh et le CSEP appellent les pouvoirs publics à s’organiser et les entreprises à accélérer le pas pour atteindre le seuil minimum légal de 40% de femmes dans les conseils en 2017.

Le 27 janvier 2011 était promulguée la loi fixant un seuil minimal de 40% de femmes ou d’hommes dans les conseils d’administration et de surveillance des grandes entreprises privées et publiques. 5 ans après, et à un an de l’échéance : quel est le bilan ? Que reste-t-il à faire pour s’assurer que les objectifs seront atteints ? Le Haut Conseil à l’Egalité entre les femmes et les hommes (HCEfh) et le Conseil Supérieur à l’Egalité Professionnelle entre les femmes et les hommes (CSEP) dressent un état des lieux et formulent 13 recommandations dans le rapport remis ce jour aux ministres en charge des droits des femmes. […]

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