Etudes de genre: les sciences au service de l’égalité réelle

« La théorie du genre n’existe pas, sauf dans les fantasmes de celles et ceux qui veulent y croire ». Présenté le 12 octobre par sa rapporteure, Maud Olivier, membre du HCE, le rapport d’information de la Délégation aux droits des Femmes de l’Assemblée nationale « Etudes de genre : les sciences au service de l’égalité réelle » constitue un état des lieux des recherches spécialisées sur le genre en France, souligne leur utilité pour rendre les politiques publiques plus efficientes et plaide pour un renforcement de leur visibilité. […]

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Mardi 5 juillet après-midi, la Délégation a organisé un colloque, ouvert au public, sur « L’aide publique au développement: une opportunité pour les femmes », en présence notamment d’André Vallini, secrétaire d’État auprès du ministre des affaires étrangères et du développement international, chargé du développement et de la francophonie, et de plusieurs responsables institutionnels et associatifs. Il a notamment permis de dresser le bilan de la mise en œuvre de la Stratégie Genre et développement 2013-2017 de la France et de débattre des voies de progrès dans ce domaine ainsi que des objectifs de développement durable (ODD 2030). Voir le programme du colloque.

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Très beau dîner-débat autour de Marie-Jo Zimmermann, Députée de la Moselle, Vice-Présidente de la délégation aux Droits des Femmes à l’Assemblée Nationale qui a déclaré:

« … Ma loi a réussi à fissurer le plafond de verre, maintenant il faut le briser… »

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« La théorie du genre n’existe pas, sauf dans les fantasmes de celles et ceux qui veulent y croire ». Présenté le 12 octobre par sa rapporteure, Maud Olivier, membre du HCE, le rapport d’information de la Délégation aux droits des Femmes de l’Assemblée nationale « Etudes de genre : les sciences au service de l’égalité réelle » constitue un état des lieux des recherches spécialisées sur le genre en France, souligne leur utilité pour rendre les politiques publiques plus efficientes et plaide pour un renforcement de leur visibilité.

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Grâce à Datainfogreffe, l’open data mise en place par Infogreffe, le ministère en charge des Droits des femmes va pouvoir disposer de statistiques sexuées sur la création et la reprise d’entreprises par les femmes ainsi que sur la féminisation des instances dirigeantes.

Le 27 septembre 2016, Jean-Philippe Vinquant, Directeur Général de la Cohésion sociale, délégué interministériel aux droits des femmes et à l’égalité entre les femmes et les hommes, et maître Bernard Bailet, Président du GIE Infogreffe, ont signé une convention de partenariat.

Ce partenariat est inscrit dans le 1er plan interministériel en faveur de l’égalité professionnelle entre les femmes et les hommes qui sera lancé par la Ministre, Laurence Rossignol, lors de la semaine de l’égalité professionnelle.

Lire l’article complet sur : familles-enfance-droitsdesfemmes.gouv.fr

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Un récent rapport de l’Université Carleton et de Gestion de Patrimoine BMO bat en brèche l’idée reçue voulant que les femmes entrepreneures soient moins téméraires que les hommes.
De fait, 72 % des femmes entrepreneures interrogées dans le cadre de l’étude se disaient très ou relativement à l’aise de prendre des décisions fondées sur les risques d’affaires, comparativement à 64 % pour leurs pairs masculins. De plus, les deux genres n’approchent pas le risque de la même manière. Les chercheurs de l’Université Carleton ont noté que les femmes axent leur gestion des risques sur les intérêts de leur entreprise, tandis que les hommes considèrent la prise de risques comme un moyen d’assurer leur sécurité financière. Autrement dit, pour eux, le risque est un moyen de créer des débouchés. Cela dit, ni les hommes ni les femmes ne sont des casse-cou, contrairement à l’image souvent véhiculée des entrepreneurs. En effet, 64 % des hommes et 57 % des femmes sont d’avis que le risque doit être savamment mesuré, calculé et géré.

Lire l’article complet sur : www.conseiller.ca

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L’année 2016 a vu l’arrivée de deux femmes dirigeantes dans les entreprises du CAC 40 : Isabelle Kocher chez Engie et Sophie Bellon chez Sodexo. Pourtant, force est de constater qu’elles ne sont que deux sur 40 à diriger une très grosse entreprise et que la situation demeure catastrophique dans les entreprises de plus petite taille.

Les chiffres sont toujours flous, mais on parle de 30 % de dirigeantes, parfois 12 % dans les réseaux d’entreprises dits à fort potentiel d’emploi (je pense à Réseau entreprendre). Si ces femmes n’accèdent pas à la direction d’entreprise, elles accèdent peu à des postes de direction ou à des mandats électoraux de manière générale. La loi et les quotas sont là pour le rappeler puisqu’il s’agit d’atteindre l’objectif de 40 % de femmes dans un conseil d’administration d’entreprises cotées par exemple.

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